Nasso était né dans la Nation du Feu, même si son lieu de naissance était reculé de la capitale, il avait été éduqué comme tout fils du feu qui se respect. C'est à dire dans l'honneur et le courage.
Mais, dans cette nation du Feu, on était considéré fils du feu que si l'on avait participé à L'An Kerok, il avait lieu deux fois par an. C'était lors de cette cérémonie où tous les postulants devait présenter leur extrait de naissance avant d'entrer dans une immense cour où ces derniers se ranger en bataillon avant d'être béni par des prêtres du feu et écouter le discour du seigneur du feu qui se déplaçait pour cette occasion.
Nasso était âgé de seize ans à ce moment et jamais il n'oubliera ce doux moment, l'exaltation qu'il a ressenti quand le seigneur du Feu à prononcer ces derniers mots "Vous voilà devenu Fils du Feu! Qu'à jamais il ne vous habite." et que les prêtres du Feu on fait jaillir un dragon flamme qui l'a survolé lui et les autres postulants.
Présentation du personnage (je me répète mais bon):
Nom entier : Nasso (Nasso n'a jamais révélé son nom de famille peut-être pour préserver sa famille en paix quelques soit ces actions)
Nation : Feu
Lieu de naissance : Terres Maldaurannes
Lieu de résidence : Capitale
Age au début de son entraînement : 9 ans
Description physique (max 10 lignes) : Nasso mesure environ 1m80, il a des yeux verts intense qui semble toujours aux aguets. Ces cheveux brins et courts affine la forme de sont visage et font contraste avec ces yeux. Nasso est un homme d'action et par conséquent il entretient régulièrement sa musculature mais sans aller dans l'excès.
Particularités (physique, mental, parcours de vie, accessoires…) :
Un homme . Il 37 ans dans mes RPs sauf indications contraires.
Devise :
Que le feu consume mes ennemis, me réchauffe et m'éclaire.
Bref récapitulatif de sa vie avant l’entrée dans le RP :
Nasso avait grandit dans les terres Maldaurannes où tout comme l'armée, les industries n'avaient aucun intérêt. Il y avait vécu les neuf premières années de sa vie, là-bas,où les plaines et les rivières sont abondantes et propice à la joie.
Nasso à l'époque était très lié avec Laïza, sa voisine la plus proche et de un an son ainée, elle avait la peau légèrement bronzée, ses cheveux était tel un champs de blé s'étalant sous un soleil d'été, ces yeux d'un bleu profond, inspiré tant de plaisir en un regard. Il avait passé l'après-midi avec elle comme à son habitude, alors qu'il s'amusait encore et encore au très connu "roule roule" qui consistait à tenir sur une balle en avançant plus loin que l'autre, celle de Nasso dériva vers la rivière, le temps qu'il réagisse, il était déjà à l'eau et la balle était son seul moyen de survie étant donné le courant. Laïza était sur le rivages affolée, criant de tenir bon, ce que Nasso fit. Elle tenait à tout prix à l'accompagner jusqu'à ce qu'il retrouve le rivage mais cette rivière traversée la foret aux mille lunes, celle qui servait depuis peu de refuge aux Arachnolions ayant fuit l'industrialisation, et Nasso la perdit de vue à mi-chemin après un large rugissement.
Le courant l'ayant libéré sept kilomètres plus loin, aux abords du village. Nasso s'empressa d'aller à la taverne où, par malheur pour lui, personne ne voulut lui venir en aide, il disait qu'il faudrait attendre que le seigneur du Feu,Zuko, leur envoie un de ses soldats d'élite déjà occupé sur d'autres fronts (des renégats du Sud). Même le père de la jeune fille semblait avoir abandonner rien qu'en entendant parler du rugissement. La faute, selon ce dernier, revenait à Nasso.
Nasso n'en fit qu'à se tête, feintant ses parents voulant le ramener à la maison, il alla de lui-même à la rescousse de Laïza. La forêt qui était autrefois connue pour ses flaques miroitantes était devenu sombre et à l'approche de la nuit, elle inspirait la crainte à Nasso. Continuant d'avancer toujours plus loin malgré les rugissements se faisant plus nombreux, Nasso craignait pour sa vie, tout son corps tremblait de peur et de froid, son cœur battait à plein régime, il avait mal à l'estomac. Il arriva au lieu qu'il reconnut comme celui où Laïza avait disparu, horreur! Des traces de sang l'orientait plus en profondeur de la forêt mais pour Laïza, il devait le faire, cent cinquante mètres plus loin, il trouva Laïza étendu contre un arbre, tout du moins ce qui en restait, en effet la bête ne l'avait tuer que par amusement mais une fois inanimée, Laïza ne devait plus distraire la bête.
Il lui manquait une jambe, Nasso était complètement anéanti, il..Il ne pouvait plus bouger comme si après une telle vision, il avait été déconnecté.
Un rugissement le fit néanmoins réagir et il se dit que Laïza méritait mieux que ce lieu pour demeure éternelle, il la souleva de toute ses forces, luttant contre la fatigue qui le rongeait, contre le dégoût que lui inspirait le sang qui lui coulait sur le bras.Il avait retrouvé les bords de la rivière quand il sentit une vive douleur dans le dos, l'audition, la vue, tout semblait s'éteindre petit à petit au ralentit.
Il fut retrouvé au petit matin sur les galets longeant la rivière aux abords du village, avec lui le corps de la jeune fille et son dos marqué des trois encoches saignantes. Le corps de Laïza fut enterré sans même attendre que Nasso puisse participer à l'éloge funèbre de sa meilleure amie.
Deux mois plus tard, il était rétabli physiquement et bien que son esprit restait imprégné de la tragédie, il ne put s'empêcher, lorsqu'enfin un soldat d'élite avait été dépêché pour s'occuper du problème, d'aller à sa rencontre. De fil en aiguille, le soldat remarqua la bravoure du jeune homme et avec l'accord de ses parents l'emmena dans un dojo où il ne trouva pas de répits avant de pouvoir se mesurer à son maitre.
